La cellulose, issue des végétaux, est la ressource naturelle et renouvelable la plus abondante, mais elle est également très résistante et nécessite des procédés thermiques et chimiques énergivores pour être valorisée en industrie. Des scientifiques d’INRAE, de l’université technique du Danemark, du CNRS et d’Aix-Marseille université ont découvert et caractérisé de nouvelles enzymes, les AA7 déshydrogénases, facilitant la dégradation de la cellulose. Leurs résultats ouvrent la voie au développement de nouveaux cocktails enzymatiques pour valoriser la biomasse issue des déchets de la sylviculture et les déchets agricoles.