Des chercheurs INRAE et de l’université de Bordeaux, en collaboration avec l’Inserm, les universités canadiennes de Laval et de Toronto, et d’autres partenaires se sont intéressés à l’impact de l’alimentation maternelle dans la période de la gestation et de la lactation, sur le développement cérébral des petits. Ils ont ainsi montré pour la première fois chez la souris, comment des apports insuffisants en oméga-3 chez la mère altèrent le développement des réseaux de neurones chez le petit, provoquant des altérations de la mémoire. Ils en ont également décrypté les mécanismes moléculaires.